Tambour chamanique en peau de bufflone – Forme Yoni
Puissance du féminin sacré, guérison des lignées, mémoire des femmes
 
• Ce tambour de dimension hors norme (85 cm x 40 cm, épaisseur 6 cm) est une création profondément rituelle et engagée, pensée comme un outil sacré de guérison pour les femmes et par une femme médecine dédiée à la réparation des mémoires du corps féminin.
 
• Réalisé à la main en peau de bufflone d’Afrique centrale, il vibre d’une énergie tellurique, protectrice et féconde. La bufflone, archétype de la mère forte, du clan et de la résilience, incarne une puissance douce mais inébranlable, capable de tenir l’espace, de soutenir, de protéger, de nourrir. Sa vibration touche les profondeurs du bassin, de l’utérus et des mémoires enfouies.
 
• Le cadre est taillé dans la masse d’un chêne, bois de force, de droiture et de sagesse, connu pour ancrer l’intention et renforcer les structures internes. Chaque fibre du bois est gardienne d’une histoire, chaque nœud un rappel de la solidité née de l’épreuve.
 
• Ce tambour est sculpté dans une forme de Yoni, symbole ancestral de la porte de la vie, du féminin sacré et de la création. Il est orné de deux pierres sacrées :
Une labradorite et une obsidienne œil céleste, placées de part et d’autre du tambour, selon l’équilibre de la pièce. Tantôt l’une, tantôt l’autre occupe la position du clitoris, marquant la dynamique entre lumière et ombre, intuition et vérité, réceptivité et révélation.
 
La labradorite, pierre de lumière intérieure et de protection, veille sur les seuils sensibles et soutient l'intuition.
 
L’obsidienne œil céleste, profonde et alchimique, accompagne la descente dans les parts cachées de l’être pour en libérer la puissance.
 
• Ce tambour est conçu comme un gardien rituel pour les femmes en chemin, pour les cercles de paroles, les soins gynéco-sacrés, les cérémonies de libération et de réintégration du corps féminin. Il résonne avec la matrice, réveille les mémoires oubliées, soutient les cycles de renaissance.
 
• Il ne s’adresse pas à toutes, mais à celles qui entendent l’appel, à celles qui sentent dans leurs os, leurs chairs et leurs rêves que le féminin a besoin d’être honoré, restauré, célébré.